mercredi 3 décembre 2008

Les macarons, encore et toujours...

Aujourd'hui, photos ! De quoi donc ? De mes derniers macarons, datés de dimanche, dont j'avoue ne pas être peu fière !
La collerette est haute est régulière, le dessus est rond et lisse, la couleur est intense. La seule chose qui me chiffonne c'est la petite bosse qu'il y a sur le dessus de la plupart des macarons...

Donc les voilà ces merveilles, destinées à être fourrées à la framboise...


Un petit pot préparé pour Mat, avec de bas en haut : citron, cerise, caramel au beurre salé :


Désolée pour le flash, pas le choix... mais ils sont vraiment roses comme au-dessus !

Si certains d'entre vous veulent passer commande pour Noël par exemple, faites-le dès maintenant, contactez-moi dans les commentaires pour avoir les prix, goûts et couleurs disponibles, et voir si je peux livrer chez vous (ou sur votre lieu de travail)

mardi 2 décembre 2008

Pourquoi des lunettes de soleil dans le métro en hiver ?

Journée difficile, passée pas loin du craquage, mais je suis partie à temps.

Les faux-airs parisiens du métro Politain, ou l'art de massacrer 20 ans de culture française en 10 secondes d'accordéon...

Les têtards tétardent, nagent et parfois coulent, tandis que les maillots de bain transparents (pas d'enfant) ont froid, et ça se voit !

Mâdâme fait visiblement ses courses chez les antiquaires, pendant que les regards se croisent et se détournent. Les nez en bec d'oiseau sont légion dans le métro, tu n'as jamais remarqué ?



Pourquoi faut-il tomber en panne d'électricité dans le métro pour s'apercevoir qu'il y a des vrais gens dans le métro ?

lundi 1 décembre 2008

Lundi matin

Week-end futile autant qu'utile.
Réveil difficile, la nuit a été courte, entre les rêves qui se font mauvais et les rats qui grignotent bruyamment des noisettes.
Je pense en allemand, je nage dans les macarons.

On médit sur la personne à côté, le bus s'arrête et ne repart plus. Le sauveur arrive
Terminus, tous les voyageurs sont invités à descendre.
Les bus vomissent leurs vermisseaux qui dégoulinent dans le métro pour s'entasser comme des sardines.
On se regarde de travers, on s'insulte, on compatit.
Fin du trajet, début de la journée.

Je déteste le lundi